andrew infanti 

« Il fallait que quelqu’un fût moi » — Le maitre autrichien (naturalisé américain) Arnold Schönberg (1874-1951) n’a jamais douté de son importance dans l’Histoire de l’art musical.

Andrew Infanti a été formé par une génération de musiciens, comme Robert Helps, qui vouait un véritable culte au compositeur-fondateur d’une certaine vision de la modernité, mais c’était avant tout pour l’expressivité exquise de sa musique.

Sans avoir reçu une formation de pianiste, Schönberg honore le clavier par un Œuvre rigoureux et inventif.
Andrew Infanti affectionne particulièrement les compositions de la période « médiane » de Schönberg (entre 1916 et 1924), et propose ici d’écouter deux des interprétations qu’il en donne en concert.

• 5 Klavierstücke Op. 23 (1916-23), n^° 2 Sehr rasch - Etwas ruhiger im Ausdruck
• Suite für Klavier Op. 25 (1921-24), mouvement III Intermezzo